Pubblico per conto di Rinaldini:
) il libro descritto è "l'ultimo volo": e il relitto deve essere ancora lì. ovviamente è stato trovato, perchè attorno è stato trovato il corpo del pilota, le lettere, il diario e alcune foto. sarebbe bello fotografarlo e segnalarlo.
2) allego documenti sul coudron simoun di saint exupery precipitato nel 1935 fra libia e egitto. secondo quanto scrive saint ex non dovrebbe essere difficile trovare il relitto che, salvo altre notizie, non venne recuperato.l'atterraggio di fortuna sarebbe stato compiuto nella zona di Wadi Matroum a 150 chilometri a ovest del Cairo. lui e il pilota vennero salvati da beduni libici e poi portati al cairo e di lì, su motonave, fecero rientro a marsiglia.
3) il p38 di saint ex caduto nel mediterraneo è fonte di mistero: nel dopoguerra circolava voce che saint ex fosse vivo e si trovasse in libia. di certo la mattina della sua scomparsa venne annunciato ai vertici militari alleati la data dello sbarco in normandia e lui lo sapeva: si parlò anche di un giallo legato a quelle voci. non è escluso, visto lo stato d'animo di saint ex, che si sia trattato di suicidio.
Ayant erre pendant trois jours dans le désert, ils ont été recueillis pas des bédouins.
Ils ne sont pas blessés
Une dépêche officielle, parvenue hier pendant la nuit au Ministère de l'air informe que l'aviateur Antoine de Saint-Exupéry et son mécanicien Provost ont été retrouvés hier, à la fin du jour, sains et saufs à Waldi-Matroum, à 150 km à l'ouest du Caire. Ils avaient atterri lundi dernier dans la nuit et ils avaient erré pendant trois jours dans le désert. Ils ont été recueillis par des Bédouins. La dépêche ajoute que Saint-Exupéry et son compagnon ne ont pas blessés.
Le Caire, 2 janvier (Dep. Havas). Saint-Exupéry et Provost sont arrivés au Caire à minuit. Après avoir averti la légation de France, ils ont gagné l'hôtel de ville. Les deux aviateurs ont fait la déclaration suivante :
" Après avoir quitté Bengasi à minuit 30, dans la nuit du 29 au 30 décembre, nous avons survolé Amseat à 2h30 ; puis au milieu d'une obscurité assez profonde en raison des nuages, nous sommes passés (à 3h30) au-dessus du poste frontière italien de Libye, c'est à dire à Sollum. Un peu plus tard, nous nous sommes rapprochés du sol pour nous y reconnaître mais nous avons dû atterrir. A l'atterrissage, le réservoir d'eau potable que nous avions emporté sur notre appareil creva. Nous avons pu cependant sauver une partie de l'eau et, à l'aube, nous nous sommes mis en marche à la recherche de secours. Nous marchions depuis rois jours dans le désert de Libye, épuisés, assoiffés, quand nous fûmes recueillis par des bédouins, à 150 km du Caire. A ce moment, nous avons fait la rencontre d'un ingénieur en compagnie duquel nous avons gagné Le Caire ".