ciao, sto preparando un viaggio in Algeria, per il periodo pasquale (23mar-9apr, vedi anche annuncio nella bacheca "si parte").

Il percorso che ho in mente prende spunto anche dall'ultimo numero di Sahara (articolo sull'Hoggar).. in pratica vorrei fare un classico tour Hassi-messaoud / Djanet / Tamanghasset e ritorno

Problemi di frontiera a parte, sto cercando informazioni sulla percorribilità delle piste, in particolare la "pista del cimitero" per A.el Hadjadi, le piste Djanet-Tam attraverso l'Hoggar e la Tam-Amguid (chiaramente ci affideremo anche all'operatore locale, ma sarebbe meglio avere informazioni preliminari).

chi ha qualche notizia o info al riguardo è il benvenuto

[ 17 Gennaio 2005: Messaggio editato da: Captain ]

Ad Agosto A.el Hadjadi era chiusa con grande posto di controllo fisso della gendarmeria nei pressi del luogo omonimo. Tam-Djanet permessa ma non viceversa. Amguid tassativamente chiusa nei due sensi.
ciao

grazie 1000,
vedremo che novità ci comunica il corrispondente locale..

ALGERIA . Si va verso la creazione d i una polizia turistica ?

LE MINISTERE DU TOURISME PLANCHE SUR LA SECURITE

En annonçant la création prochaine d'une police touristique, le ministre du Tourisme, Mohamed Seghir Kara, veut endiguer le kidnapping des touristes et renforcer la protection des sites touristiques. Un projet qui risque de susciter un conflit de prérogatives avec la police et la Gendarmerie nationale.
Le ministère du Tourisme a-t-il le droit d'avoir sa propre police ? L'idée du projet lancée par le ministre du Tourisme, Mohamed Seghir Kara, s'inspire apparemment des polices touristiques existantes dans des pays à fort potentiel touristique et vise à sécuriser davantage les touristes: «La mise en place d'une police touristique est inscrite dans l'ancienne stratégie de réforme et de revalorisation du potentiel touristique national. Il s'agit de rehausser l'image du pays», s'est contentée de répondre une source au ministère du Tourisme sans préciser la substance de ce projet. «C'est à l'image de l'Egypte et de la Jordanie qui disposent d'une police spécialisée dans la surveillance des sites, la protection des touristes. En Egypte, elle a son uniforme et agit ouvertement. En Jordanie, elle est discrète», nous indique-t-on.
La paternité du projet qui reviendrait au patron de la DGSN, Ali Tounsi, pourrait permettre au ministère du Tourisme de disposer de ses propres effectifs de police pour sécuriser les ressortissants étrangers en voyage touristique en Algérie. La faisabilité d'un tel projet demeure au stade d'idée: «On ne sait absolument rien. Nous ne sommes pas au courant», s'est borné à indiquer le commandement général de la Gendarmerie nationale qui est concernée par la sécurité au Grand Sud du moment que c'est la destination la plus prisée par les touristes étrangers.
Jusqu'à présent, la sécurité des touristes et des sites est assurée par la police et la gendarmerie. La référence à une police touristique, comme elle existe dans des pays à vocation touristique tels que l'Egypte, la Thaïlande, le Liban, la Jordanie ou la Grèce, n'est pourtant pas une garantie tout risque pour la protection des touristes. L'attentat de Louxor, en Egypte, sur un site protégé par la police touristique et qui a fait 67 morts, tous des étrangers, a incité Le Caire à revoir son dispositif en la matière et à réinstaller des brigades militaires mobiles autour de sites à fort taux de fréquentation touristique. En Algérie, l'équation n'est pas éloignée du modèle égyptien du moment que des groupuscules terroristes s'attaquent aux étrangers. Le rapt et la cavale des 32 touristes européens, encadrés par une cinquantaine de membres du GSPC de Abderezak Al Para, à travers le désert algérien, a donné à réfléchir aux autorités algériennes. La création d'une police touristique à Illizi n'aurait pratiquement rien changé à la situation sécuritaire dans le désert du Fadnoun, qui plonge vers le Niger, au moment des faits. La récente affaire des cinq touristes-pilleurs allemands, qui ont faussé compagnie à leur guide à Djanet, a ravivé le débat sur la nécessité de protéger les touristes mais surtout de les «encadrer».
Selon les procédures en vigueur, les touristes étrangers sont dans l'obligation de signaler leurs déplacements et leurs itinéraires. Selon les lois internationales gérant l'activité touristique, le pays hôte est responsable de la sécurité des biens et des personnes, touristes en l'occurrence. C'est dans l'équilibre entre le droit du touriste et les devoirs du pays hôte que la police touristique devrait intervenir.
Les touristes étrangers qui viennent en Algérie sont en majorité informés des impératifs de sécurité à adopter. Selon les recommandations des agences de voyage et des offices diplomatiques en Europe, notamment en France et en Allemagne, il est spécifié que: «Les déplacements touristiques dans cette région sans un guide accompagnateur algérien agréé par le ministère du Tourisme sont interdits par les autorités algériennes. Les voyageurs doivent donc impérativement faire appel à des agences de voyage locales agréées (...). Les circuits proposés par ces agences sont connus et autorisés par les forces de l'ordre, avec lesquelles elles sont en liaison permanente. En fonction de la situation sécuritaire, certains secteurs peuvent être interdits à la circulation». En quoi consiste donc le projet Kara ? Au niveau des instances de sécurité, on semble tout ignorer des implications concrètes de cette police. Certes, chaque ministère planche sur sa propre police (celle de l'eau pour l'hydraulique, celle de proximité pour les collectivités locales, celle de l'environnement...), sans pour autant qu'on soit certain que ces polices aient un impact quelconque sur leurs secteurs respectifs.
En attendant que ce projet prenne forme, la sécurité des touristes et des sites est assurée par les corps constitués qui, malgré l'épisode de l'affaire Al Para, n'ont jamais démérité sur le terrain, soit pour sécuriser les pistes du Grand Sud, les hôtels ou les parcs naturels comme celui du Hoggar. L'idée de la police touristique se heurtera toujours à la notion de voyage, de liberté et de l'aventure d'un touriste étranger qui décide d'aller où il veut, mais surtout à sa responsabilité face aux périls qui menacent sa vie.
Mounir B. Et Djillali B.

BYBYBY GFCLY

Ma che succede in Algeria?
ci sono stato nell'inverno 2002 e ricordo una frontiera Tunisia-Algeria scorrevole, doganieri sorridenti ed insolitamente comprensivi(nessun problema per gps o altro).
Credo che la serie di rapimenti di un paio di anni fa abbia lasciato il segno e che questa storia della polizia turistica possa aver avuto origine da lì.Comunque, se intendete scendere, vi segnalo l'itinerario Hassi bel guebbour-erg tifernine-amguid davvero notevole e tecnicamente poco impegnativo, dove tra l'altro ho potuto percorrere in moto qualche centinaio di metri insieme ad un gruppetto di gazzelle.
Se desiderate informazioni seppur datate (no punti gps) il mio indirizzo e-mail è motosilvestro@hotmail.com

ciao

Per Motosilvestro la pista che dici è chiusa da tempo purtroppo...
per gfcy Beh se facessero una polizia turistica alla libica e poi aprissero le piste finalmente io sarei moooolto contento
visto come vanno le cose sarebbe il male minore e d'altronde mi chiedevo cosa aspettassero

Con comunicato sui quotidiani locali la nostra Ambasciata ad Algeri ha annunciato che, a decorere dal 1 febbriao p.v. le domande di visto d'entrata in Italia per gli algerini dovranno essere presentate ( spedite) per posta con tutti i documenti necessari a secondo del tipo di visto rischiesto; turistico, lavoro, transito semplice, ecc). L'ambasciata invierà successivamente alla ricezione una lettera di convocazione con data e ora in cui il richiedente si deve presentare con gli originali, firmare il modulo e ritirerà il visto.

Ciò al fine di snellire le file allo sportello .

BYBYBYB GFCLY

x GCFY,

non credo che il tuo post possa essere letto da "algerini" desiderosi di ottenere un visto per l'Italia.

ciao, sono in attesa di resoconto sulla effettiva situazione attuale, relativamente a tutta l'area a sud di H.B.Guebbour, da parte di 2 corrispondenti di Tam e Djanet. Se ottengo indicazioni interessanti e precise, le posterò immediatamente.

Spero proprio che sia possibile la riapertura delle piste a sud di Hassi bel guebbour io però partirei solo dopo aver visto la copia dell'ordre de mission timbrato dai militari ......sono molto diffidente questo per vecchie esperienze e conosco un po gli algerini.....