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#19422 - 03/13/04 08:23 PM
Re: Insabbiamo anche qui?
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Registered: 01/08/02
Posts: 1225
Loc: Italia-Tchad
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What Really Happened with the Hostages? può essere interessante leggere questo capitolo dal link: http://www.globenet.free-online.co.uk/articles/african_base.htm per quanto riguarda il Tchad gli Usa smentiscono un coinvolgimento di propri reparti nell'azione(?). E' anche curioso notare come un gruppo possa essere braccato nell'Immensità del deserto dal Mali al Niger al Tenerè al Tchad e nello stesso tempo per mesi non si riesca a trovare 32 persone con annesso sistema logistico,mah!
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#19423 - 03/13/04 08:54 PM
Re: Insabbiamo anche qui?
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Registered: 12/20/01
Posts: 713
Loc: INSUBRIA
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Leggendo l'articolo sembra tutto abbastanza chiaro.... ........adesso comincio anche a capire il riavvicinamento col colonnello! Poveri Tuaregh! ....e poveri viaggiatori! Mah!
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#19424 - 03/15/04 09:03 PM
Re: Insabbiamo anche qui?
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Registered: 12/25/01
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#19425 - 03/17/04 03:19 PM
Re: Insabbiamo anche qui?
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Senior
Registered: 12/19/02
Posts: 529
Loc: bologna
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speriamo di avere prima o poi un resoconto obbiettivo, intanto se a qualcuno interessa nell'argomento niger c'è il resoconto del mio attraversamento niger-algeria
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Partir descanta, ma chi parte mona torna mona!
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#19426 - 03/20/04 02:55 PM
Re: Insabbiamo anche qui?
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Senior
Registered: 01/08/02
Posts: 1225
Loc: Italia-Tchad
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a breve un riassunto abbastanza attendibile della situazione
[ 20 Marzo 2004: Messaggio editato da: adolfo ]
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#19427 - 03/21/04 09:47 AM
Re: Insabbiamo anche qui?
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Senior
Registered: 01/08/02
Posts: 1225
Loc: Italia-Tchad
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Tralasciando e lasciando a ciascuno le supposizione sul perchè si sia generato il famoso rapimento vorrei fare un velocissimo riasunto dei fatti accaduti. Resta il fatto di una certa"naturale" re e re-redirezione di info e di un altamente probabile pilotaggio di azioni (queste intese come una loro forzata canalizzazione in una certa direzione).
Gli unici dati certi che possono suffragare una delle ipotesi fatte per scartare le altre sono le date.
Buona Lettura.
Un esempio è qui sotto:
Aggiornato al 20 marzo 2004
Un lancio dell'agenzia AFP e un articolo sull'algerino El Watan confermano la mancata cattura di Abderrezak,attualmente la sua presenza è segnalata a seconda delle ipotesi intorno a Timbouctù,nei pressi della frontiera algerina a sud della Wilaya di Adrar "ma non molto lontano dalla frontiera mauritana"considerato che i movimenti di questo "gruppo" terrorista sono seguiti dai satelliti e da aerei spia rimangono molti dubbi sulla loro effettiva localizzazione anche perchè come abbiamo visto i gruppi sono più di uno.
Aggiornato al 13 marzo 2004
Un gruppo del GSPC viene intercettato e sgominato nel nord del Tchad (Tibesti) dall'esercito tchadiano alcuni elementi vengono fatti prigionieri,il gruppo era composto da algerini,maliani,nigerini,fra di essi anche un Tchadiano,l'indicazione che a capo del gruppo possa trovarsi l'algerino Amari Saïfi detto Abderrezak "le para"è molto probabilmente errata,il fatto che non venga trovato fra i morti o i catturati suffraga l'ipotesi di una fonte bene informata che indica l'esistenza di 3 o 4 gruppi del GSPC con epicentro gravitazionale in Mali,uno in direzione della Mauritania (mancano indicazioni su chi lo conduce),uno verso il Niger (Mokhtar Bel Mokhtar detto Belaouar) uno fra il Mali e l'Algeria (Le Parà) e uno in prossimità del Tchad (probabilmente con collegamenti con la resistenza Toubou)
Come si vede l'ipotesi del 13 marzo che indica il fatto che probabilmente non è vero che Le Parà si trova in Tchad viene confermata dalla notizia del 20 marzo.
A questo punto possiamo proseguire sempre facendo il percorso inverso:
La prima news che segnala gli scontri in tchad è del 9 marzo questo qualifica come bene informata la fonte che il giorno 8 di marzo posta su kidal.info un messaggio dove descrive la collocazione dei vari gruppi del GSPC (uno appunto in Tchad,cosa che direi non molto risaputa) :
La "mouvance islamiste" dans la région de Kidal - et plus généralement dans toute la zone sahélienne -, loin d'être uniforme et monolithique, s'articule actuellement autour de deux groupes extrêmement différents, tant par les méthodes utilisées que par les buts qu'ils se sont fixés. Ne pas vouloir ou ne pas pouvoir les différencier peut créer une grande confusion qui, non contente de mener à une simplification outrancière (genre combat du Bien contre "l'Axe du mal"), est également utilisée sciemment dans un discours construit de toutes pièces par ceux qui y trouvent leurs intérêts. Dans l'impuissance qui est la nôtre face à la machine de guerre qui se met en place, la seule chose qu'on puisse aujourd'hui faire est de tenter de resituer ces deux groupes dans leurs dynamiques propres pour essayer de comprendre le possible devenir de cette région prise désormais dans un jeu qui la dépasse.
Le premier groupe, la Dora, est présent à Kidal depuis 4 ou 5 ans. C'est à l'origine un mouvement de prêche fondamentaliste né en Inde il y a une trentaine d'années. Son siège est actuellement au Pakistan - quand on parle des "Pakistanais", c'est d'eux dont il s'agit. La Dora s'est fixé pour objectif de faire revenir l'ensemble du monde musulman à une lecture et une pratique "ultra-orthodoxe" de la religion. En effet il y a autant de pratiques différentes que de régions en Islam, et les pratiques religieuses à Kidal sont très fortement marquées par la culture saharo-sahélienne. Les prédicateurs de la Dora, par le prêche, souhaitent "nettoyer" la région de ces spécificités. Ils mènent ce travail partout au Mali, et dans d'autres pays. A priori, tout recours à la violence est exclu de leurs actions dans la mesure où c'est l'individu qui doit, une fois "correctement" sensibilisé (certains parlent de "lavage de cerveau"), choisir de lui-même de suivre ou pas les recommandations faites - dans la pratique il en va autrement, puisque certains membres de cette organisation usent de l'agression verbale et de la menace pour "convaincre", surtout en brousse. Après de nombreux entretiens avec des membres influents de la Dora à Kidal, certains ayant séjourné plusieurs mois au Pakistan, je crois pouvoir dire qu'il y a de leur part une condamnation ferme et sans appel des méthodes utilisées par Al-Qaida et un rejet de tous les groupes qui s'en revendiquent, ainsi que des idéologies qui les sous-tendent. Maintenant il est toujours possible que l'un ou l'autre, individuellement, y adhère. En tout cas, il est dit clairement dans les textes que j'ai pu lire émanant de cette organisation que sont exclus tous les discours d'ordre politique. Ceci étant, des dérives sont toujours possibles.
De l'autre côté les "islamistes" algériens. Issus des maquis GIA ce sont des groupes dirigés par d'anciens "émirs" (le Para, Belaouar, etc) reconvertis depuis dans le banditisme et la contrebande. Le groupe de Mokhtar Bel Mokhtar, alias MBM, alias Belaouar, est un groupe qui avait, du temps des GIA, la responsabilité du grand sud algérien. Ce groupe sillonne depuis de nombreuses années les zones frontalières Algérie-Mali-Niger. L'opinion la plus répandue, de Kidal à Agadez, est que Belouar est depuis toujours un agent de la sécurité algérienne. Le jour où elle n' a plus eu besoin de lui, il s'est "naturellement" tourné vers le banditisme. L'autre groupe, le GSPC, celui d'Abderazak Al-Amari dit le Para, est lui un groupe venu du nord de l'Algérie. L'un et l'autre sont de longue date affiliés mais j'ignore comment. C'est ce dernier, dont personne n'avait jamais entendu parler auparavant, qui prit en otage les touristes au printemps dernier. Pour des raisons qui restent à expliquer clairement, celui-ci a décidé fin juillet de rejoindre le nord-Mali avec armes, bagages et otages. Or il est strictement impossible, pour qui connait l'armée algérienne, qu'il ait pu traverser 1500 km de désert sans être repéré ni intercepté. Certains ont donc été jusqu'à prétendre qu'on l'a "laissé passer" exprès. Le fait est qu'à quelques mois des élections présidentielles algériennes les généraux, qui ne portent pas Boutefliqa dans leur cœur, ont réussi, grâce à ce coup "inespéré", à le griller définitivement dans les chancelleries européennes. Ces groupes seraient actuellement au nombre de trois ou quatre : l'un vers la Mauritanie, un autre vers le Niger (Belaouar ?), un troisième entre Mali et Algérie (Para ?), et un quatrième du côté du Tchad. Certains des médiateurs kidaliens ayant obtenu la libération des otages étant membres de la Dora, les moins informés des médias et des politiques accusèrent dans un amalgame hâtif la mission de "complicité" avec les preneurs d'otages (voir les infos du 12 août dernier), et les mieux informés jouèrent de cet amalgame pour cyniquement servir leurs intérêts (comme Salima Tlemçani par exemple). Les otages ont été relâchés contre versement d'une rançon, ce que l'Allemagne n'a jamais reconnu officiellement, et contre la promesse que les ravisseurs pouvaient rester dans la région, à condition de ne plus jamais faire parler d'eux. Au jour d'aujourd'hui et à ma connaissance, ils n'ont commis aucune action dans la 8ème région contre des gens, qu'ils soient locaux ou touristes. Grâce à l'argent de la rançon, quelques millions d'euros (cinq ?), ils ont investi les réseaux de contrebande, trafic d'armes, de cigarettes, etc. qui pullulent depuis longtemps entre les trois frontières, mais ont également recruté de jeunes Kidaliens attirés par l'argent vite gagné, la vie aventureuse et les armes à profusion. Ainsi que l'a fait remarquer le journaliste du Monde le 5 mars dernier, aucun lien organique entre ces bandes maffieuses et Al-Qaida n'a pu être établi (ce qui ne signifie pas non plus qu'il n'y en ait pas). Le plus probable, pour reprendre ce que rapporte ce même journaliste, est que certains états de la région ont su, profitant l'actualité en Orient, surfer sur la vague des crispations internationales pour attirer aides, argent et attention médiatique. Une dépêche AFP du 5 mars va dans ce sens : "Un groupe de plusieurs dizaines de "trafiquants" islamistes a fui récemment le nord du Mali pour un pays voisin, a-t-on appris vendredi de sources militaires. Selon un officier en poste dans le nord du Mali, interrogé par téléphone depuis Bamako, ces hommes se présentent comme des éléments du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), qui a mené des attentats en Algérie et se réclame du réseau terroriste Al-Qaïda. Mais ce sont "des trafiquants (...), des voyous qui utilisent la religion comme paravent", a ajouté ce haut gradé". Enfin, dernière pièce au dossier, un reportage diffusé jeudi soir (4 mars) sur la 2 montrait un agent de la DGSE, vaguement déguisé en humanitaire, sur la piste des terroristes au nord Mali. Rencontrant des nomades qui lui parlent de convois de contrebandiers, il a cette réaction: "mais ils ne disent pas la vérité". Deux groupes donc, avec des buts et des méthodes très différents. On ne peut prendre la défense ni des uns ni des autres, mais la confusion entretenue peut avoir des conséquences dramatiques. Le risque, maintenant que le problème vient d'être "internationalisé", est aujourd'hui de durcir les positions de ces deux groupes. Une attaque militaire à grande échelle pourrait avoir pour conséquence de pousser les éléments les plus extrémistes des deux groupes à se rejoindre pour n'en faire plus qu'un, les uns apportant logistique, armes et véhicules et les autres le goût du djihad, et ce jour-là la situation échappera à tous, y compris à ceux qui l'ont fabriquée de toutes pièces pour des intérêts personnels et des manoeuvres de basse politique. Il est également possible qu'à partir du moment où la situation sera devenue explosive, des groupes extérieurs à la région cherchent à y entrer. Dès lors un scénario "à l'irakienne" devient possible : ces mêmes journalistes et ces mêmes politiciens pourront alors affirmer, mais cette fois à raison, que le nord Mali est devenu un repaire d'islamistes et une base arrière d'Al-Qaida. Ils auront contribué grandement à le créer. Je reprends pour conclure ce que disait un intervenant dans une causerie : "Kidal a toujours été musulmane mais ne sera jamais islamiste...". J'ajouterai : "...sauf si on fait tout pour qu'elle le devienne".
Link:http://www.kidal.info/index.php
Quanto sopra smentisce il seguente articolo apparso a febbraio:
«Les jours de Abderezak El Para sont comptés»
« Il n’est pas question de quitter la route», a déclaré, hier, le ministre de l’Intérieur, M. Zerhouni, au sujet des voyages touristiques des étrangers dans le Sud algérien, alors qu’il accompagnait le président de la République, en visite à Tamanrasset et In Salah. Il a par ailleurs révélé que l’opération de neutralisation des éléments du GSPC dans la région se poursuit, indiquant que trois membres armés du groupe ont été éliminés au sud-est de la daïra. Il est clair que depuis l’opération militaire qui a conduit à la destruction d’un convoi d’armes du GSPC, dans la commune de Fougarat Ouzoui, près de Aïn Kehla, la présence de groupes terroristes a sensiblement diminué dans le Sud algérien. M. Zerhouni qui a salué l’efficacité de l’opération, a reconnu que la sécurité de la zone frontalière du Sud n’est pas totalement garantie, avant d’ajouter que les jours de Abderezak El Para sont comptés. Le ministre a précisé que depuis l’enlèvement des touristes étrangers, des dispositions de sécurité strictes ont été imposées aux touristes qui envisagent un circuit touristique dans le grand Sud. Il est strictement interdit, dira-t-il, de faire des visites individuelles. Tout voyage touristique dans la région doit impérativement passer par une agence de voyages. Les convois de touristes sont ainsi protégés par des cordons de sécurité entre In Salah et Tamanrasset. In Salah qui se situe à 670 km de Tamanrasset est considérée comme une zone de transit, explique le maire de Fougarat Ouzoui, Taleb Ahmed, indiquant que la dernière opération militaire a porté un coup dur à la contrebande qui transite par la région. Le maire de la ville qui a servi de «tombe» aux éléments du GSPC, fera remarquer que les hommes de Hassan Hattab ont choisi cette région pour son relief difficile.
Il seguito (precedenti)della storia si può rileggere nei numerosi documenti presenti nel sito nel forum Algeria ma sappiamo di già quale sono le ipotesi da scartare.
Per tornare all'attualità un articolo in inglese:
BEIRUT: Osama bin Laden's acolytes are opening up a new front in the terror war, the remote and arid shoulder of northwest Africa where the little-known cluster of countries that make up the region have strong Muslim and Arab ties. The Americans are responding by sending special forces units into the region, and since it was once part of France's colonial empire this intervention could deepen the rift between the French and the Bush administration. The Islamists' aim seems to be to thrust into the cauldron of Central and West Africa, an area of increasing strategic importance to the Americans because of its new-found oil wealth. Spearheading the drive into Mali, Chad, Niger and Mauritania is the Salafist Group for Preaching and Combat, one of the two main Islamic groups still fighting in Algeria and which is allied to Al-Qaeda. Salafist comes the Arabic word salaf, meaning pioneers. A few days ago, the Chadian government disclosed that its forces, reportedly assisted by a US Navy PC-3 Orion surveillance aircraft, killed 42 Islamic fighters in a running battle in the Tibesti Highlands near the border with Niger on March 8-9, the first serious engagement in the largely Muslim region. The fighting erupted when Chadian troops patrolling the country's northwestern border stumbled across five trucks packed with Salafist Group fighters who had infiltrated from Niger. It was not clear how many militants were involved in the fighting, in which the militants deployed rocket-propelled grenades and mortars, but the Chadians said that among those killed were nine Algerians, with the rest from Niger, Mali and Nigeria. Five prisoners were taken - three from Niger, one from Chad and an Algerian. If these reports are accurate, the composition of the force indicates that the Algerian organization has infiltrated the surrounding countries sufficiently to have recruited sizeable numbers of militants there to establish a presence in a region that has hitherto been untouched by the Bush administration's "war on terrorism." The presence of Nigerians among the Salafists should ring alarm bells among counterterrorism agencies. The Muslim-dominated north of Nigeria, Africa's main oil producer, has been wracked by clashes between Muslim militants and Christians for months and the conflict shows every sign of escalating. Hundreds of people have been killed since 2002, 200 of them since February this year. In the last weeks of 2003, Islamic militants calling themselves the "Taleban" rose up in the Sahel semi-desert on Nigeria's northeastern border with Niger. In recent months, the influence of Wahhabism, the puritanical branch of Islam dominant in Saudi Arabia and adhered to by bin Laden, has increased in Nigeria, which has the continent's second largest Muslim population after Egypt. In the forefront of this is a charitable foundation known as Al-Muntada al-Islami backed by wealthy Saudis. Al-Muntada has not been explicitly linked to any attacks in Nigeria, but its activities in Kenya led to the expulsion in January of its director in Nairobi, a Sudanese named Sheikh Muawiya Hussein, for alleged links to terrorist organizations. In late December, Malian security forces deployed in the northwest of the country after groups of "armed Islamists" traveling in all-terrain vehicles were detected in the Timbuktu region near the border with Mauritania. No clashes were reported, but the incident reinforced indications that elements of the Salafist Group for Preaching and Combat, known by its French acronym GSPC, were moving southward from the organization's known operational zone in eastern Algeria, a major battleground in that country's 12-year-old civil war. The first scouting parties in this migration apparently struck in February 2003, when four members of a government-armed civil defense patrol were killed in the Ouargla region, 750 kilometers south of Algiers. Like much of southern Algeria, it had been untouched by the civil war. The men's throats had been slit, the trademark of the Algerian insurgents. In the same period, other armed groups were spotted in several southern provinces, from Bechar near the Moroccan border to El Oued near the frontier with Tunisia. Soon after, six groups of European adventure tourists, totaling 32 people, were kidnapped in the southern Sahara around the desert town of Tamanrasset by a GSPC faction led by Amari Saifi, also known as "Abderrezak the Para" for the special forces training he underwent in the Algeria Army before he deserted. One group of 17 captives was freed by the Algerian military's elite Special Intervention Group in a helicopter-borne rescue mission deep in the desert in May 2003. The other 15 were forced to march into Mali, where their release was negotiated in August. Germany allegedly paid as much as $16 million in ransom, money that the militants have supposedly used to buy weapons, recruits and develop an infrastructure for their new venture. The United States has for some time feared that Al-Qaeda affiliates would seek to build a new staging area in the region of failed or impoverished states for a push into West and Central Africa, where governments are weak and riddled with corruption that makes them malleable, hampered by poor or nonexistent communications and armies that are poorly equipped, trained and led, unable to maintain security in the vast territories they have to protect. This new enterprise would mirror the Al-Qaeda presence built up since the 1990s in East Africa and the Horn of Africa, just across the Gulf of Aden from Yemen and Saudi Arabia, Al-Qaeda's home turf. The American response has so far been modest: a $100 million operation known as the Pan-Sahel Initiative designed to help the regional governments counter the buildup of militants linked to Al-Qaeda. Some 200 personnel from the US Army's 10th Special Forces Group, based in Germany and veterans of the US-led war against the Taleban and Al-Qaeda in Afghanistan following the Sept. 11, 2001, attacks, have deployed in Mali, Mauritania, Chad and Niger in recent weeks, or are in the process of doing so. Their mission: train selected units of these countries' armies in counterterrorism tactics and provide equipment such as all-terrain vehicles. At the same time, the governments of Mali, Chad, Niger and Algeria are stepping up cooperation to counter the armed extremists moving in on them. So far, US forces have not been committed to combat. But if the GSPC penetration is as extensive as it appears to be, with the potential for expansion, and the fighting qualities of the regional armies remain poor, the Americans may have to deploy combat forces like the 1,200-strong Marine group based in Djibouti for the last two years, along with special forces, air support and a naval contingent, to cover East Africa and the Horn. The need to counter this new threat might explain why the US Sixth Fleet, which covers the Mediterranean, is considering moving its main base from Gaeta in Italy to Rota in southern Spain, which is much closer to northwest Africa. The GSPC, which has openly allied itself with Al-Qaeda, was formed in 1998 by some 600 extremists who broke away from the Armed Islamic Group (GIA), the most ferocious of the insurgent organizations, apparently because of its slaughter of civilians. The GSPC attacks only government, military and security targets. The GIA, its core formed by Arab veterans of the 1979-89 war against the Soviets in Afghanistan, established cells in Europe and the GSPC has done the same. Several dozen Algerians, almost all of them allegedly linked to the GSPC, have been arrested across Europe in recent months for involvement in the insurgency in Iraq against the US-led occupation. Unlike the pre-Sept. 11 GIA cells, which were primarily involved in aiding their comrades in Algeria, the new cells uncovered in France, Germany, Italy and Spain have a wider remit: international operations that coincide with the objectives of Al-Qaeda. A group called Salafist Jihadiya has emerged in Morocco, and has been blamed for the suicide bombings there in May 2003 in which 44 people perished. It has also been linked to the March 11 bombings in Madrid. The GSPC is now regarded as Al-Qaeda's main sub-contractor in North Africa and Western Europe.
Ed Blanche, a member of the International Institute for Strategic Studies in London, is a Beirut-based journalist who has covered Middle Eastern affairs for three decades. He is a regular contributor to THE DAILY STAR
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#19429 - 04/14/04 10:42 PM
Re: Insabbiamo anche qui?
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Loc: Italia-Tchad
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In pratica la testimonianza che cerchi corrisponde (a quanto ne so io)a quello che è scritto nel post (più sotto)con riferimento kidal.info
Ho avuto la possibilità di essere informato sulla testimonianza dei turisti aggrediti dal gspc il 22 febbraio presso la duna di Temet : Ore 18,30 una dozzina di uomini armati a bordo di 2 4x4 si sono avvicinati all'accampamento dei turisti. Si sono presentati come membri del GSPC. In seguito fanno una chiamata su telefono satellitare. 5 minuti più tardi altri 4 veicoli con una trentina di uomini raggiungono il gruppo. Un uomo di alta statura avanza e si presenta in francese come Abderezak Le Parà,capo del GSPC. Nel prendere i passaporti ai turisti a questi ultimi vengono proposte 2 possibilità: 1- Venire presi in ostaggio e di conseguenza chiedere un riscatto al governo francese 2 - Lasciare tutto il contante che posseggono e una delle due vetture fuoristrada impegnandosi a inviare per mandato internazionale una volta ritornati in Francia 100 milioni di franchi cefa. I turisti scelgono la seconda opzione. Viene redatto un documento in 3 copie,firmato dai turisti e completato da un timbro con l'intestazione del GSPC: 2 kalachinkov incrociati su un libro del corano con la scritta GSPC in arabo. Una postilla del documento richiede ai francesi di rimborsare anche 7 milioni di CFA alle guide private di una delle 2 vetture. Il gruppo abbandona l'accampamento verso le 22,30 non prima di essersi fatto consegnare anche le provviste ed i medicinali. Contravvenendo alle disposizioni,una volta allontanatosi il gruppo del GSPC, i turisti inviano il 4x4 rimasto immediatamente su Iferouane per dare l'allarme. La mattina dopo apprendono che un meharèè di 30 francesi e un gruppo di 6 austriaci ha subito la stessa sorte. .
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#19431 - 04/16/04 09:09 AM
Re: Insabbiamo anche qui?
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Messaggio inizialmente inserito da Alfredo Crivelli - Milano: Ti ringrazio Adolfo per la cortese ricostruzione dei fatti. Io però mi riferivo ad altri documenti. In ogni caso considero chiusa la mia richiesta di maggior informazione per manifesta volontà di non voler pubblicare quanto ricevuto dal tedesco quasi un anno fa. Con sconcerto, Alfredo Non ti scaldare Alfredo: non c'e' nessuna volonta' insabbiatoria. Io sono riuscito a farmi tradurre uno dei due documenti tedeschi, ed e' risultato quello che segue: Di seguito la traduzione di uno dei due documenti in mio possesso, che e' una intervista:
Un gioco sporco
"Non ci sono i terroristi islamici, bensì il servizio segreto algerino
dietro il rapimento dei turisti europei" sostiene Mourad Dhina
Dhina, lei ha spiegato che non ci sarebbe l'organizzazione islamica GSPC
dietro il rapimento dei turisti europei; però i 17 turisti in questione sono
stati liberati proprio dalle mani di questa organizzazione. Come spiega
questo sviluppo?
Io resto della mia opinione. Quando i vertici dell'esercito algerino hanno
reso noto che dietro il rapimento c'era il GSPC non sono rimasto sorpreso
più di tanto. Per noi è chiaro che specifiche unità dell'esercito sono
coinvolte nella vicenda. E'impensabile che un gruppo come il GSPC prenda in
ostaggio stranieri senza rivolgere richieste specifiche ai paesi d'origine
de sequestrati in cambio della liberazione. Inoltre la liberazione da
ribelli pesantemente armati, difficilmente sarebbe potuta avvenire senza
vittime da parte dei prigionieri.
Non è un segreto che ci siano forti rivalità tra chi detiene il potere in
Algeria; si tratta di lotte di potere all'interno dei vertici dell'esercito
ed anche tra il presidente e le forze armate. Purtroppo è tradizione
algerina che tali lotte di potere conducano ad atti di violenza. Stanno
cercando di attribuire il sequestro dei turisti stranieri al GSPC e
avvicinano questo gruppo ad Al Quaida, ma non ci sono prove.
Sono convinto che questo rapimento sia stato totalmente organizzato ed
eseguito dai servizi segreti algerini. Dietro c'è il tentativo di una
fazione al potere di indebolire il presidente e di metterlo in una
situazione difficile nei confronti dei Partner stranieri dell'Algeria.
Poiché l'esercito ha liberato gli ostaggi, anche il governo è
corresponsabile.
Saluti
_________________________
Peter Komanns RR 3.5Efi "Lizzy" Def 110 Td5 "Margot" alias "Maggie" BMW R1100RT "Waltraub"
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