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#19012 - 04/11/03 08:48 PM
documenti
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ATTAQUE TERRORISTE A AIN GUEZZAM Le Gspc de Belmokhtar récidive 07-01-2003 - Page : 2
Après leur forfait, les terroristes ont fui vers le Niger.
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Envoyer à un ami Un groupe terroriste a attaqué, le 18 décembre dernier, une base de vie de la société (Evsm), chargée de la réalisation du tronçon autoroutier Tamanrasset-Aïn Guezzam, située à 120 km au nord de Aïn-Guezzam. Ce groupe, composé de 20 terroristes, portant tous des tenues afghanes, était armé de kalachnikov et d’une lance-roquettes RPG7. Les terroristes se déplaçaient à bord de deux véhicules de type 4x4, une Nissan et une Toyota à benne dotée d’un fusil mitrailleur FMPK. Cette attaque a eu lieu après que le groupe eut dressé un faux barrage au lieu dit Bir Ouatten, situé à 50 km au nord de Aïn-Guezzam. Le directeur du projet de construction et des techniciens l’accompagnant ont été pris en otage et conduits par force jusqu’à leur base vie, située à 60 km du lieu du faux barrage, où les 75 travailleurs qui y vivent ont été rassemblés et un document subversif leur a été distribué. Il s’agirait du n°6 d’un bulletin d’informations s’intitulant Sada El Kital (l’écho du combat), émanant du Gspc de la zone 2 de Hassan Hattab. Avant de quitter la base, les terroristes ont pris un important lot de matériel composé de quatre véhicules Toyota, une Nissan, un téléphone portable et plusieurs litres de mazout. Selon les informations, le groupe aurait fui vers le Niger après que les forces de sécurité eurent enclenché une vaste opération de ratissage. Il serait important, par ailleurs, de tenter d’identifier ces individus terroristes. La présence d’une littérature subversive distribuée par les assaillants et leur fuite en direction du Niger, montrent que ces terroristes appartiendraient au groupe du Gspc écumant les zones du Grand Sud algérien sous la férule de l’émir Mokhtar Belmokhtar. Seulement, il y a lieu de savoir, s’il n’y aurait pas présence de ressortissants étrangers parmi ce groupe terroriste, car, selon les mêmes informations, quelques éléments auraient déjà été identifiés comme étant natifs du Centre du pays. Mais, à partir d’une lecture sécuritaire prudente, il ne serait pas faux de croire les informations en notre possession qui semblent indiquer que la présence de fugitifs d’Al-Qaîda qui auraient réussi à infiltrer le territoire national grâce à l’assistance des terroristes de Belmokhtar n’est pas à écarter. En effet, dans notre récente édition, il a été fait état d’un groupe d’Afghans arabes, lourdement armé, ayant déjà pris la direction des parties nord de la zone 9 du Gspc, tentant de rejoindre pour le moment Djanet. Mais pour pouvoir faire jonction avec le groupe, auteur de l’attaque, son avancée un peu plus au Nord rend plausible une telle supposition. L’hypothèse de la présence d’Afghans arabes lors de l’embuscade tendue aux éléments de l’ANP, vendredi dernier, dans les monts des Aurès, est à prendre en compte sérieusement pour deux raisons. Primo, Imad Abd El Wahid, émissaire de Ben Laden, a été abattu justement à l’est du pays où active le groupe de Abderazzak El-Para, presque en constante relation avec la zone 9 de Belmokhtar, et ce, notamment pour son approvisionnement en armes et munitions (voir nos précédentes éditions). L’empreinte Al-Qaîda serait donc vérifiée. Secondo, l’absence d’une communication de la part des cellules installées récemment dans les différentes régions militaires, entreprise saluée à plus d’un titre, rend toutes «les élucubrations médiatiques et fantasmagoriques» possibles. C’est le prix qu’il faut payer...
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#19013 - 04/11/03 09:08 PM
Re: documenti
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conferma su vecchie voci:
17 TOYOTA D’UNE COMPAGNIE PETROLIERE DETOURNEES A ILLIZI L’émir Benmokhtar terrorise le Sud 30-12-2001
Un important groupe terroriste a réussi, mercredi, à détourner 17 véhicules 4X4 de marque Toyota et un semi-remorque appartenant à une firme pétrolière occidentale dans la localité de Ouanet, dans la wilaya d’Illizi.
Ce convoi de véhicules a été intercepté alors qu’il se préparait à rejoindre le camp de base de cette société pétrolière. On ne connaît pas encore le sort des occupants, notamment les chauffeurs originaires du Sud, mais le groupe terroriste croyait, apparemment, à la présence de fonctionnaires de cette compagnie ou à un convoi de touristes. Depuis quelques jours, l’affluence de touristes, nationaux et étrangers, dans cette région à l’extrême sud-est du pays, a créé une ambiance inhabituelle dans la wilaya d’Illizi. Des vols charters et les liaisons régulières ont déversé de nombreux touristes sur la ville pour les fêtes du réveillon, ce qui aurait suscité l’idée d’un attentat. Or, les véhicules interceptés étaient vides, ce qui n’a pas empêché le groupe, que certaines sources ont identifié comme celui de l’émir Mokhtar Benmokhtar, de récupérer ces véhicules tout-terrain. Le vaste ratissage, qui s’est enclenchée dans la journée même par les éléments de l’armée et du Groupement des gardes frontières (GGF), a permis de localiser rapidement l’emplacement du convoi détourné le long des frontières algéro-libyennes à plus de 400km au sud d’Illizi. 6 véhicules Toyota sur les 17 et le semi-remorque ont été retrouvés abandonnés et ensablés dans les dunes. Le groupe terroriste ne les ayant pas abandonnés par hasard puisqu’ils étaient pour la plupart minés par des bombes artisanales que les militaires algériens ont réussi à repérer et à désamorcer. Aucune autre indication n’est à signaler quant au déclenchement d’un accrochage sur les lieux de la découverte des véhicules. Selon des sources informées, cette opération terroriste aurait été menée par le groupe de Mokhtar Benmokhtar, alias Laouar, qui n’est autre que l’émir régional de la zone sud de l’organisation salafiste (Gspc) de Hassan Hattab. Prenant des risques considérables, eu égard au déploiement militaire dans le Sud algérien, le groupe du Gspc voulait probablement frapper un grand coup pour terroriser les compagnies pétrolières occidentales dans le sud ou les éventuels touristes de circonstance. Benmokhtar s’est déjà signalé par une opération similaire dans le Sud algérien lorsqu’il a tenté de détourner le tracé du rallye Paris-Dakar, en 1999-2000, qui traversait le nord du Niger. Les menaces terroristes avaient dissuadé les organisateurs du Rallye, dont Sabine, de poursuivre la course dans la région et de lancer un pont aérien vers le Mali. Il s’est avéré, par la suite, que ces menaces n’étaient pas sérieuses du fait de la présence du groupe Benmokhtar dans la région de Aïn Salah. Actuellement, très peu d’informations circulent sur le sort de ce terroriste, souvent contradictoires, puisque certaines sources l’ont signalé au Mali et au Niger. Cet adjoint de Hattab, ancien du GIA, tente depuis des années, sans succès, de menacer les compagnies pétrolières étrangères en s’attaquant notamment aux pipelines qui acheminent le gaz vers le Nord algérien.
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#19014 - 04/11/03 09:23 PM
Re: documenti
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S TRIBUS NIGÉRIENNES RAVITAILLENT BELMOKHTAR La poudrière du Sud 18-02-2003 - Page : 4
La menace de Belmokhtar proviendrait du soutien en armes des tribus en conflit basées au nord du Niger.
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Envoyer à un ami Des informations en provenance d’une source sûre, indiquent que deux tribus targuies, situées à l’Extrême-Nord du Niger, auraient vendu un important lot d’armes et de munitions au groupe du Gspc activant sous la férule de l’émir Mokhtar Belmokhtar dans le Grand-Sud algérien. Cette marchandise, précise la source, aurait été achetée au Niger, dans une localité de Tazaret, située au Nord, par deux «responsables» appartenant à deux tribus différentes. Il s’agit, explique la source, des E’Tawarek et El’Mcharka, deux tribus en conflit, basées sur la largeur de la bande frontalière algéro-nigérienne. Selon les informations, la transaction aurait été effectuée par un certain Freha, installé sur le territoire national, et un Nigérien se dénommant Mada, qui serait accompagné par le fils d’un parlementaire du même pays. Cette importante quantité d’armes et de munitions serait composée de fusils type MAT 49, de kalachnikovs, de RPG 7, de fusils Seminov, des armes de type FAL et RPK et des cartouches. En fait, la circulation des armes sur cette largeur de bande frontalière constitue réellement une source d’approvisionnement en armes pour les terroristes écumant ces zones tribales où s’effectuerait généralement le transit de Pakistanais (ou d’Afghans arabes) voulant rejoindre soit le nord du pays, pour intégrer le Gspc de Hassan Hattab, soit l’Europe, via le territoire marocain aux fins de perpétrer des opérations terroristes. L’embuscade, tendue dans les Aurès, à Batna, au cours de laquelle une quarantaine de soldats avait trouvé la mort, aurait montré, à ce titre, que des terroristes s’exprimant en langue étrangère auraient bel et bien «participé à cette opération». De plus, le cas de l’émissaire de Ben Laden, Imad Abdelwahid, abattu par les forces antiterroristes algériennes, en septembre dernier, à l’Est, dans la même ville, est, on ne peut plus significatif de cette stratégie de l’organisation Al-Qaîda qui, selon des analyses sécuritaires, aurait été appliquée, justement, vers le 11 septembre 2001. Toutefois, à regarder de très près les informations en provenance, soit de ressortissants maliens, très au fait de l’actualité sécuritaire, soit, directement des régions du Sud algérien, l’on est tenté de constater que la menace armée proviendrait beaucoup plus du côté des groupes du Gspc de Belmokhtar, qui seraient, à cet égard, «bien» soutenus en logistique militaire par des tribus targuies installées au nord du Mali et du Niger, que de réseaux liés à Al-Qaîda. En réalité, la circulation des armes dans ces contrées désertiques, obéirait à des considérations liées surtout à «sauvegarder l’intérêt» de telle ou de telle tribu en conflit. C’est de ces situations conflictuelles, induisant une profusion d’armes et surtout la propension des tribus au soutien logistique, notamment de ceux se présentant comme étant leurs alliés du moment, dont l’«émir» Belmokhtar semble «tirer profit» et dont il ferait «bénéficier» ses autres «chefs» terroristes du Centre et de l’Est, respectivement Hattab et El-Para. Le nord du Nigeria serait, par ailleurs, un autre pôle «attractif» pour l’achat des armes de Belmokhtar. Récemment, un véhicule de marque Toyota aurait été chargé d’armes au nord du Nigeria, à Kano, non loin du Niger, et aurait transité justement, rappelle-t-on, par Tazaret, localité située au Niger, pour être convoyées à Tamanrasset via Aïn Guezzam, et ce, pour «atterrir» chez les éléments de Belmokhtar. Et dire que ces derniers, lors d’un faux barrage dressé, rappelons-le, le 18 décembre de l’année écoulée, et suivi d’une attaque terroriste d’une base vie d’une société algérienne située à 120 km de cette ville, étaient en possession des mêmes armes qui auraient été justement vendues par ces tribus aux groupes de Belmokhtar. Il s’agissait, en effet, d’un groupe de 20 terroristes qui, selon les dernières informations, seraient tous natifs de villes du centre du pays. Un certain Hassen de Bouira, possédant une arme de type FAL, Yahia, d’Alger, plus exactement de Birkhadem, avec un fusil Kalachnikov, le surnommé «Boudj», de Cherchell, détenteur d’un fusil RPG 7 et MAT 49, le nommé Omar, de Aïn Témouchent, avec une arme type FAL, et, un certain M.Abderazzak, de Médéa, qui avait, lors de cette attaque, un RPK et MAT 49. Serait-ce une simple coïncidence?
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#19015 - 04/11/03 09:40 PM
Re: documenti
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EXCLUSIF PORTRAIT DU CHEF TERRORISTE BELMOKHTAR Un visage sur un émir 24-12-2002 - Page : 3 http://www.lexpressiondz.com/photos/TP021224-011.jpg[/IMG] Il serait approvisionné en armes par Brahim Bahinga, chef de la tribu malienne des «Foughass». La dernière information sûre en notre possession, relative aux mouvements de ce terroriste, est qu’il aurait pris attache, durant ce mois-ci, avec le chef de la tribu «El Foughass», le nommé Ibrahim Bahinga, située à Tinasoukou, sur la bande frontalière malo-tchadienne, et ce, dans le but, précise la source, de s’approvisionner en armes et en munitions. Ce chef de tribu vient de déposer les armes il y a de cela une année, ajoute notre source. La présence de Mokhtar Belmokhtar (alias Khaled Abou El Abbes alias Laouar, né à Ghardaïa en juin 1972), dans le Sud algérien remonte à 1994 quand Djamel Zitouni avait chargé le groupe du GIA du Sud d’assassiner les ressortissants étrangers travaillant dans le sud du pays. Belmokhtar, pour ce faire, avait nommé Tahri Taher, alias Azem, principal adjoint, chargé de la fabrication de bombes artisanales. Ce dernier, né en 1954, a été abattu par les forces antiterroristes près de Ghardaïa. A ses côtés, Belmokhtar avait également Habi Miloud, natif, lui aussi, de Ghardaïa. Ex-Afghan, ce terroriste était considéré au sein du groupe Belmokhtar comme l’«émir spirituel et législateur» actif du GIA du Sud. Il a été éliminé, en 1999, sur les monts des Bibans à Bordj Bou-Arréridj. Le groupe du Sud avait dans ses rangs des évadés de la prison de Tazoult, à l’image de Feda Mounir, Moussa Gachoche...La plupart d’entre eux ont été abattus par les forces antiterroristes algériennes. Avant qu’il ne réactive ses activités terroristes dans cette région du Sahel, Belmokhtar, eu égard aux sévères coups que les services de sécurité ont portés à l’encontre de son groupe, s’était réfugié au Mali et au Niger, ce que Hattab n’aurait pas accepté et ce fut la première «mésentente» née entre le chef du Gspc et Belmokhtar qui a failli «perdre sa place» d’«émir» de la zone 9 du Gspc. D’ailleurs, hormis la présence de l’émissaire de Ben Laden dans cette région sahélo-maghrébine à des fins de mise en place d’une base arrière d’Al-Qaîda, la venue de celui-ci, abattu, rappelle-t-on, à Batna, était aussi destinée «à normaliser» la relation Hattab-Belmokhtar. Ce qui prouverait, à suivre les informations en provenance de cette région, un certain redéploiement de ce dernier sur le tracé frontalier cité plus haut où, faut-il le rappeler, un bureau appartenant à un mouvement se dénommant «Daâwa oua Tabligh» aurait été ouvert, au Niger et, selon des sources, serait destiné à alimenter le groupe de Belmokhtar en armes. Il y a aussi le fait que ces contrées désertiques qui abritent toutes sortes de contrebandes, constituent surtout le point de départ vers les maquis terroristes du Nord de l’Afrique de la plupart de la marchandise militaire (fusils mitrailleurs, Rpg 7, roquettes, cartouches...). Le nord du Mali constitue un lieu et un passage que les islamistes fondamentalistes écumant la région, exploitent à des fins terroristes. Il y a lieu de citer, à cet égard, la région d’«El-Khalil», située au nord du Mali et connue pour être une région qui échappe au contrôle des autorités militaires maliennes qui ont quasiment quitté les lieux. En effet, selon une source bien informée, une caserne militaire implantée au Mali a fait récemment l’objet du vol d’un important lot d’armes et de munitions qui a été remis, après un long périple effectué par des villageois maliens, aux éléments de Belmokhtar, justement au lieu-dit «El Khalil» pour être acheminé, précise la source, vers les maquis du Gspc du Nord du pays sous la férule de Hattab, au Centre et, celle de Abderrazak El-Para, à l’Est. Par ailleurs, une vingtaine de Pakistanais en situation irrégulière, avaient, en octobre 2002, transité par cette localité d’«El-Khalil» en provenance de Gao (Mali), vers la Mauritanie, et ce, pour pénétrer en territoire algérien. C’est dire donc que l’immigration clandestine est à la source des facteurs favorisant l’implantation des réseaux de Ben Laden et le trafic d’armes dans cette région désertique qui se singularise, au plan géologique, par un massif montagneux s’étendant du Mali jusqu’en Egypte, rendant la surveillance difficile et surtout l’incapacité des Etats d’effectuer des contrôles de leurs frontières respectives. Pour pouvoir cerner un tant soit peu la circulation des armes dans cette région et les pratiques illicites du commerce «tout terrain», serait-il judicieux de souligner, par ailleurs, qu’au nord du Niger, la présence du Front révolutionnaire sahraouis (FRS) et le Front démocratique révolutionnaire (FDR) sont deux fronts basés à la frontière libyo-nigérianne qui avaient dénoncé les accords conclus, en avril 1994, entre Israël et le pouvoir nigérian. A l’époque, le FRS comptait environ 250 combattants et avait bénéficié, en juillet 1996, d’un armement lourd important. L’approvisionnement en armes de ces deux fronts, n’induit-il pas celui des groupes de Belmokhtar? Outre cette date, Belmokhtar écumait déjà ces régions où, selon des informations, plusieurs lots d’armes datant de la guerre libyo-tchadienne ont été retrouvés et récupérés par la tribu des «Toubous», située aux frontières tchado-nigérianes, et vendus à des contrebandiers proches des Groupes islamistes armés (GIA). Certaines tribus targuies devenues rebelles peuvent facilement, dans ces conditions, faire jonction avec l’organisation «Al-Qaîda» de Ben Laden qui bénéficierait ainsi d’un tremplin logistique permettant de propulser son essaimage vers les parties nord de l’Afrique. [IMG] [ 11 Aprile 2003: Messaggio editato da: adolfo ]
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#19016 - 04/12/03 09:08 PM
Re: documenti
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Algérie, le 02/02/2003 L'étau se resserre sur le GSPC Traqués en Europe en raison de leurs liens avec el-Qaïda, les hommes de Hassan Hattab pourraient se redéployer dans le Sahara.
Le chef du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) traverse une mauvaise passe. Ses réseaux de soutien en Europe ainsi que certains de ses émissaires sur le Vieux Continent tombent un à un. Une vingtaine d'arrestations à Londres, jusque-là havre de tranquillité pour les activistes de Hassan Hattab, une quinzaine en Espagne, terre de transit pour les armes et les explosifs destinés aux maquis et aux laboratoires de la mort, et bien d'autres aux Pays-Bas, en Allemagne et en France. En outre, le mouvement n'arrive plus à recruter dans les banlieues miséreuses des grandes agglomérations algériennes et voit ses effectifs fondre comme neige au soleil (on évoque quelques centaines de combattants encore en activité dans les maquis de Kabylie et de l'Est, à la frontière algéro-tunisienne).
Traqués en Europe, en raison des liens avérés entre le GSPC et el-Qaïda, les hommes de Hassan Hattab ont été contraints de se redéployer dans des zones plus clémentes pour approvisionner les maquis. Selon une source militaire algérienne, Hassan Hattab tenterait de réactiver l'axe sahélien de la route des armes. ------------------------------------------------------------------------------ Disparus du Sahara : les Algériens évoquent un enlèvement LE MONDE | 12.04.03 | 14h09 Aucune revendication ou demande de rançon pour 31 touristes européens.
Les touristes européens disparus dans le désert algérien ont-ils été enlevés par des islamistes ? Officiellement, le mystère demeure sur le sort des 31 personnes – 15 Allemands, 10 Autrichiens, 4 Suisses, 1 Néerlandais et 1 Suédois – réparties en plusieurs groupes et qui se sont "évaporées" quelque part du côté de l'erg Tifernine, à quelque 1 500 kilomètres au sud de la capitale, Alger. Pour certains d'entre eux, la disparition remonte à plus d'un mois et demi.
Selon une source allemande bien informée interrogée vendredi 11 avril par Le Monde, les responsables algériens chargés de l'enquête "privilégient la thèse de l'enlèvemen t par des islamistes". "Mais nous n'avons reçu aucun texte de revendication politique ni aucune demande de rançon", précise ce responsable, sous couvert de l'anonymat. ------------------------------------------------------------------------------------- VIENNE, 12 avr (AFP) 15:44 La ministre autrichienne des Affaires étrangères, Benita Ferrero-Waldner, a parlé samedi à Salzbourg (ouest), après son retour d'une visite en Algérie, d'une "lueur d'espoir" pour les dix disparus autrichiens dans ce pays. Elle a indiqué que lors de ses entretiens avec les ministres algériens des Affaires étrangères et de l'Intérieur elle avait obtenu une information selon laquelle "les disparus étaient encore en vie le 8 avril". "Celà constitue un certain espoir, je ne peux rien exclure" a-t-elle dit sans donnerd'autres précisions.
sarebbe bello fare uno scambio.
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#19017 - 04/13/03 11:10 AM
Re: documenti
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come dice Marco non resta che sperare. Nel frattempo quante notizie non abbiamo cercato fino a un mese fa? luglio 2001 Quatre gardes-frontières assassinés et huit blessés L’axe Tamanrasset-Bordj Badji Mokhtar est en passe de rivaliser, au plan sécuritaire, avec les régions du centre du pays. En effet, des accrochages sont signalés entre les forces de sécurité et les groupes de contrebande, à plusieurs reprises ces derniers jours. Le dernier en date, qui a fait quatre victimes parmi les gardes-frontières et huit blessés, est attribué au groupe de Bellaouer(aggiornamento:BELLAOUAR O BELAOUAR O meglio :BELMOKHTAR) qui semble avoir opté pour l’affrontement armé pour imposer sa mainmise sur le trafic dans la région. Outre les victimes, les criminels se sont emparés des armes et des véhicules. Récemment, le même groupe a procédé au détournement d’une ambulance appartenant au dispensaire de Bordj Badji Mokhtar et délesté une personnalité de la région de son arme. Composé de dizaines d’éléments, le groupe de Bellaouer agit avec facilité dans cette région désertique, dont il maîtrise la topographie, à bord de véhicules tout terrain, ce qui rend difficile son interception. Cette tâche est rendue d’autant plus difficile que le seul hélicoptère en service est, paraît-il, affecté ailleurs. Spécialisé dans le trafic en tous genres, Bellaouer s’est fait remarquer, depuis quelque temps, par l’extension de son activité au trafic d’armes en provenance des pays limitrophes. Les observateurs pensent que ces armes servent à alimenter les réseaux du GSPC de Hassen Hattab. Cette hypothèse est corroborée par le fait que certains éléments de ce redoutable groupe sont fichés comme recherchés dans le nord du pays. Il ne s’agit donc plus de la simple criminalité, mais de ramifications des groupes terroristes qui n’hésitent plus à faire appel aux réseaux de contrebande déjà préexistants, opérant dans les zones frontalières. Il faut rappeler, par ailleurs, que c’est cette stratégie qui a été adoptée par les groupes sévissant aux frontières est, où est signalée la présence du groupe de " Abderazak le Para ", ancien bras droit de Hattab. Les spécialistes avaient expliqué cette nouvelle activité par le manque de liquidités chez les groupes armés qui ont versé dans ce trafic, qui se chiffre en millions de dollars. La manne directement récupérée leur permet à la fois de se procurer des armes et de recruter d’autres éléments. Acculés par les offensives des forces de sécurité, diminués, les groupes armés tentent de reconstituer leurs troupes en versant dans le mercenariat. Le groupe de Bellaouer ferait, à n’en point douter, partie de cette catégorie, qui se situe dans le prolongement des groupes armés dont la seule alternative de survie demeure les attaques spectaculaires et les accrochages avec les gardes-frontières, qui continuent de les traquer malgré le manque de moyens. Enfin, la délocalisation partielle des actes criminels vers les zones sahariennes renseigne sur la mobilité des terroristes, mais aussi et surtout sur leur incapacité à se reconstituer comme ils étaient avant et, matériellement, ils sont dans le dénuement total, les apports financiers de leur communauté à l’étranger s’étant taris avec le changement du contexte international et surtout de l’attitude des pays d’accueil tels que le Royaume-Uni et la France. B.Djilali(quot d'oran 1707) HASSI MESSAOUD:LA VIOLENCE INTEGRISTE XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX Ce qui s’est passé dans la nuit de vendredi à samedi Les victimes de l’horreur racontent : "Ils voulaient nous enterrer vivantes" Battues jusqu’au sang, mutilées et violées, beaucoup ont ensuite failli être complètement ensevelies sous un amas de pierres et de sable. vi risparmio tutti i dettagli dell'articolo dico solo che in riferimento all'uccisione avvenuta tempo fa del gruppo olandese in Mali una volta catturati i responsabili i maliani li legarono per i piedi ai fuoristrada trascinandoli da tessalit per tutta la valle in direzione di gao. [ 20 Aprile 2003: Messaggio editato da: adolfo ]
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#19018 - 04/13/03 09:08 PM
Re: documenti
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Yves e Brigitte su questo sito: http://www.hoggar.com/lost/index.html hanno fatto un ottimo lavoro catalogando tutte le info disponibili e aggiornandole in continuazione merci Yves
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#19019 - 04/19/03 05:16 PM
Re: documenti
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http://www.lequotidien-oran.com/quot2390/even.htm Ainsi, après avoir ciblé les touristes, le groupe Belmokhtar ne peut plus les atteindre au Sud algérien grâce aux mesures drastiques de sécurité imposées au-delà de Tamanrasset, In-Salah, Djanet et Tinzaouatine-tout véhicule circulant ne portant pas un chiffon de couleur définie chaque semaine, est immédiatement signalé par les patrouilles d’hélicoptères de l’armée algérienne et immobilisé-.
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#19020 - 04/21/03 09:48 AM
Re: documenti
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Da el Watan del 21.4.03
Deux mois sont passés depuis que les 8 premiers touristes ont été portés disparus dans le désert. La disparition de ce groupe a été suivie par celle de six autres pour atteindre vers la fin du mois de mars le nombre de 15 Allemands, 10 Autrichiens, 4 Suisses, un Néerlandais et un Suédois, dont le sort n’est toujours pas connu. Cette situation unique dans les annales du tourisme saharien algérien a provoqué une panique générale au sein des voyagistes, notamment allemands et autrichiens. Même si bon nombre de ces touristes ont annulé leur voyage en Algérie, d’autres groupes ont continué à affluer, par route, vers les plateaux du Tassili et de l’Ahaggar, via toujours la Tunisie. Vendredi dernier, un groupe de 11 Allemands et de 2 Autrichiens a quitté la ville de Tamanrasset, sans guide, en direction de la Tunisie, à bord de 5 véhicules tout-terrains. Après avoir séjourné à Hassi El Fehal, situé à 150 km de Ghardaïa, ils n’ont plus donné signe de vie à leurs proches, lesquels ont tout de suite alerté les autorités locales et les agences de voyage. Ce n’est que samedi dernier que les services de sécurité les ont retrouvés au lieudit Oued Touil, où ils se sont aventurés sur une piste à 15 km dans le désert. Cet épisode rappelle la nécessité absolue pour les touristes de se faire accompagner par des guides, en mesure de reconnaître les bonnes des mauvaises pistes dans le désert. L’énigmatique disparition des 31 touristes reste une «préoccupation majeure des services de sécurité, des autorités et des habitants des quatre wilayas concernées », a déclaré une source sécuritaire. Cette dernière a exprimé l’«espoir de retrouver ces touristes vivants, même si au fond», a-t-elle précisé, «nous sommes presque sûrs qu’une bonne parti des sept groupes n’est plus en Algérie». Notre interlocuteur a néanmoins «rejeté » les informations rapportées par un journal autrichien vendredi dernier, selon lequel, les autorités algériennes «auraient localisé le premier groupe de 11 touristes dans un endroit où ils seraient détenus par des terroristes». Ce responsable n’a pas été très explicite au sujet de cette question. Il est resté très évasif à propos des informations rapportées par des guides de la région d’Illizi, faisant état de nombreux détails qui laissent croire à un enlèvement des 11 touristes, à 150 km au nord-ouest de la ville d’Illizi, sur la route des Tombeaux. «Ce sont des supputations qui se basent sur des rumeurs. Le dispositif mis en place par les forces de l’ANP, la gendarmerie, les gardes frontières et les guides locaux a passé au peigne fin les 2200 km2 du fameux triangle Tamarasset-llizi-Djanet. Au point où l’activité des contrebandiers est depuis le déclenchement de l’opération de recherche presque nulle. Nous avons mis des moyens humains et matériels colossaux et il faudra un jour faire ressortir le coût de ces recherches endossé par l’Etat. S’ils s’étaient égarés, nous aurions retrouvé leurs traces comme cela s’est passé pour les 13 touristes perdus vendredi dernier et retrouvé la matinée du samedi», a-t-il tenu à préciser.
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#19021 - 04/21/03 12:13 PM
Re: documenti
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El Watan 20-4 La saison touristique au Sahara tire à sa fin. L’atmosphère régnant à Tamanrasset n’est plus celle d’un happy end. Sur toutes les langues, la disparition des 31 touristes étrangers revient comme seul événement d’actualité. Au niveau des agences de tourisme, scepticisme et scénarios catastrophe se multiplient en attendant la suite qui sera réservée à cette affaire. «C’est un coup fatal à notre métier», avoue Benabdelkrim Abdelkrim, directeur de l’agence Moula Moula. Il tire du tiroir de son bureau une copie imprimée d’une déclaration d’un touriste autrichien publiée sur le site Internet http://www.sahara-info.com, un site très fréquenté par les touristes européens. Il est cité que la situation est dangereuse dans les pays de l’Afrique du Nord. L’auteur du message «conseille» les touristes européens de ne plus s’y rendre. «On a vite répondu à ces déclarations irresponsables, via le même canal. On se demande toutefois quels sont les desseins de ce sinistre personnage», a-t-il ajouté. .................... Un responsable de l’agence locale de l’Office national algérien du tourisme (ONAT) explique que «les circuits des agences agréées sont précis et bien définis. Ceux qui font confiance aux guides ne risqueront pas de mauvaises surprises.» ......................«La manière dont les touristes étrangers sont reçus et acheminés vers les sites touristiques ne laisse presque pas de place aux mauvaises surprises......... On tient à rassurer tous nos clients et à leur assurer les meilleures conditions de séjour», ajoute notre interlocuteur. " On se demande toutefois quels sont les desseins de ce sinistre personnage», a-t-il ajouté"..è semplicemente incredibile.... questo si può condivedere: per informarsi meglio: http://www.world-tourism.org/sustainable/IYE/Regional_Activites/Algeria/Algeria/Men u-fr.htm in particolare: http://www.world-tourism.org/sustainable/IYE/Regional_Activites/Algeria/Algeria/Popp.h tm http://www.world-tourism.org/sustainable/IYE/Regional_Activites/Algeria/Algeria /Guide-Boret.htm la sorgente di questi link è dovuta proprio al lavoro di Yves sul suo sito,d'accordo sui testi ma da una prima lettura sembrava comunque già tutto deciso dal 21-23 gennaio 2002(per le guide) sembra riconfermarsi il fatto che sia meglio parlare di argomenti ameni per evitare rogne.... DIMENTICAVO IL TURISTA AUSTRIACO CHIAMATO IN CAUSA IN PRIMA PERSONA E' PROPRIO YVES IL WEBMASTER. [ 21 Aprile 2003: Messaggio editato da: adolfo ] [ 21 Aprile 2003: Messaggio editato da: adolfo ]
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#19023 - 04/21/03 07:33 PM
Re: documenti
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Complimenti . Io non ho ancora capito niente dopo 15 giorni di attenta lettura sulla sorte dei turisti scomparsi. Chissà forse qualche anima buona darà anche qualche notizia in Italiano.
Emilio
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#19024 - 04/24/03 04:41 PM
Re: documenti
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scusami Emilio ma è ancora francese. LA PRESSE ETRANGERE ET LES TOURISTES DISPARUS / La piste d’Al Qaîda
Citant un «expert du Sahara», le plus grand quotidien autrichien affirme que les touristes allemands (les autres, on pourrait penser qu'ils auraient été enlevés par erreur parce que parlant allemand) seraient aux mains d'un groupe islamiste armé qui compte se servir des otages pour faire pression sur le gouvernement allemand afin de libérer quatre ressortissants algériens récemment inculpés pour avoir tenté de perpétrer un attentat sur le sol français, plus exactement au marché de Strasbourg durant les fêtes de Noël de 2000. M. Muller, cité par le Kronen Zeintung, se veut catégorique : «Les tenants de cette affaire sont très clairs.»
Il assure avoir reçu un fax, sans en préciser la provenance, qui l'aurait informé de l'enlèvement et de l'objectif recherché par ses auteurs et ses commanditaires. M. Muller affirme que cette explication coïncide parfaitement avec le déroulement des faits, en faisant noter que la première disparition de touristes allemands a été signalée deux jours après l'ouverture du procès des terroristes algériens en Allemagne, et qu'une seconde le fut deux jours après le verdict de la cour. Rappelons que les quatre terroristes islamistes algériens, qui ont reconnu avoir projeté un attentat en France, ont été condamnés le 10 mars dernier par la cour de Frankfort à des peines allant de 10 à 12 ans de prison ferme. Le groupe, composé de trois ressortissants algériens et d'un Franco-Algérien, a été arrêté le 26 décembre 2000 en possession d'armes et d'explosifs, et son procès a débuté en avril de l'année dernière. M. Muller affirme que les autorités algériennes seraient en train de jouer le rôle de médiateurs, négociant avec le groupe des kidnappeurs pour libérer les otages. Cette version n'engage que M. Muller, repris par un journal autrichien, généralement très crédible. Mais demeure le fait qu'aucun des 31 touristes n'a plus donné signe de vie depuis le 8 avril, date avancée par le ministère autrichien des Affaires étrangères. Pour sa part, la presse allemande d'hier n'a fourni aucune information inédite sur ce drame, et les envoyés spéciaux des grands quotidiens ont regretté l'absence de toute communication de la part des responsables algériens, qualifiant la situation de «silence du désert». Par contre, la plupart ont rapporté l'information relative à la mobilisation d'un avion airbus, à l'aéroport de Cologne, prêt à décoller, en cas de dénouement de l'affaire, avec plusieurs médecins à bord. Le même appareil avait servi à rapatrier les touristes allemands après l'attentat contre la synagogue de Djerba. Les autorités suisses, elles, ont reçu, selon les journaux helvétiques d'hier, les parents de 4 touristes originaires de ce pays et leur ont affirmé n'avoir reçu aucune demande de rançon ni aucun message relatif à la disparition mystérieuse des touristes. Le scénario que défend M. Muller, même s'il peut sembler invraisemblable et dépassé, puisqu'ayant d'abord été évoqué par la presse algérienne, n'en fait pas moins réfléchir. Car des recherches sur l'actualité en Allemagne durant les mois de février et de mars nous ont permis de relever plusieurs évènements liés à la lutte contre le terrorisme islamiste. Ce pays européen a été le premier à juger un terroriste accusé d'avoir participé aux attentats du 11 septembre aux Usa. Ce fut le Marocain Mounir el Moutassadek, 28 ans, et étudiant à l'université de Hambourg, qui a été condamné à 15 ans de prison. Un second Marocain a été arrêté et accusé d'avoir aidé à financer le groupe de Mohammed Atta et d'avoir versé de l'argent sur le compte des pilotes kamikazes. Le 20 février, le Berliner Zeitung, quotidien allemand, révèle qu'une soixantaine d'enquêtes sont en cours pour juger 100 terroristes islamistes activant en Allemagne. Le 22 février, le gouvernement allemand met en garde ses citoyens contre «la menace d'attaques terroristes en ce moment en Allemagne : cette alarme est la plus élevée jamais enregistrée depuis le 11 septembre 2001». Selon des informations citées par les services de renseignements européens et rendues publiques, la formation terroriste Al Qaîda s'est redéployée en Europe et compte reprendre son activité contre des intérêts occidentaux. Et en mars, une cour fédérale de Brooklyn, aux USA, a condamné deux Yéménites, un ancien imam de Sanaâ et son garde du corps, arrêtés en Allemagne en janvier et accusés d'être de proches collaborateurs de Ben Laden. L'Allemagne a donné son avis favorable pour l'extradition. Ces faits pourraient être une simple coïncidence temporelle avec la disparition des 31 touristes en Algérie. Mais en l’absence de toute explication de la part des autorités algériennes en mesure d'écarter ce scénario où Al Qaîda, utilisant notre magnifique désert pour faire chanter des chancelleries européennes, tiendrait le rôle diaboliquement principal ?
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#19025 - 04/26/03 01:18 PM
Re: documenti
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http://strategypage.com/fyeo/qndguide/default.asp?target=ALGERIA.HTM Riassunto parziale dei punti salienti per chi non conosce l’inglese, senza responsabilità per errori od omissioni: I 31 dispersi sarebbero stati sequestrati per fungere da scudi umani da un gruppo di estremisti islamici timorosi di un intervento armato delle forze governative nei loro confronti. Circa le note di biasimo dei locali ai turisti perché viaggiavano senza guida fidandosi soltanto del GPS si riconosce che effettivamente il GPS non può negoziare con i nomadi locali ostili….
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#19026 - 05/04/03 06:07 PM
Re: documenti
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da "le quotidien d'oran" di oggi: AFFAIRE DES 31 TOURISTES DISPARUS DANS LE SUD ALGERIEN
Schroeder propose son aide à Bouteflika
Selon le magazine Der Spiegel, à paraître lundi,. Schroeder a transmis une lettre mercredi dernier par le secrétaire d’Etat au ministère allemand des Affaires étrangères Juergen Chrobog à M. Bouteflika à Alger, pour proposer d’envoyer des experts allemands en renfort pour retrouver les disparus. D’après Der Spiegel, le chancelier a fait part de sa «grande inquiétude» sur le sort des touristes et appelle le président à mettre tout en oeuvre pour les sauver. Berlin est opposé à une éventuelle intervention de l’armée algérienne et cherche à convaincre Alger d’accepter la participation d’experts allemands pour gérer la crise de manière politique, avait rapporté Der Spiegel la semaine dernière. Cette inquiétude allemande viendrait du fait de la confusion qui règne actuellement autour du sort des 31 touristes alors que l’hypothèse la plus évoquée demeure, celle, de l’enlèvement par le GSPC et à un degré moindre, par des contrebandiers de cigarettes dans le grand Sud.
Cette agitation médiatique marquée par les affirmations de militaires algériens, cités par Le Monde ou Profil, a, apparemment, poussé, le ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, à re-situer le débat. Dans son intervention à la Chaine III, Zerhouni dira que : «des indices nous font croire qu’ils sont en vie». Il citera des habits, des papiers et une voiture (Iveco Bleu des Allemands) découverts récemment mais se refuse de confirmer l’hypothèse de l’enlèvement : « Je ne suis pas en mesure de vous dire s’ils sont entre les mains des terroristes (...). Nous n’excluons aucune hypothèse » indiquera-t-il.
Ainsi, la prudence de Zerhouni s’explique, probablement, par la complexité de l’affaire. D’abord, les Algériens considèrent que les groupes de touristes peuvent se trouver en dehors du territoire algérien. La piste nigérienne et libyenne est fortement évoquée, et en l’absence d’indices venant de Niamey et de Tripoli, étonnamment silencieux malgré les sollicitations d’Alger, cette hypothèse demeure ouverte. Ensuite, l’impatience des Etats européens qui ont des ressortissants disparus (Allemagne, Suisse, Suède, Autriche, Pays-Bas) qui commence à se faire pesante sur la plan diplomatique, pénalise la coordination des opérations de recherche et, éventuellement, les négociations qui pourraient exister avec les ravisseurs du GSPC ou autres. Enfin, le temps qui s’écoule ne fait que craindre le pire et agiter une potentielle intervention militaire. Sur ce plan, l’ANP a effectivement les moyens de tenter une opération en force mais on semble se diriger vers une solution négociée politiquement qui préserverait les vies des touristes.
Sur tous ces aspects, rien n’est venu apaiser les choses, même si Zerhouni est loin d’avoir tout dit et a traduit tout l’embarras du gouvernement algérien qui a besoin de discrétion pour gérer au mieux une affaire aux allures de feuilleton.
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#19027 - 05/04/03 06:10 PM
Re: documenti
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questo invece da El Watan: Grand sud La thèse de l’enlèvement se précise
La thèse de l’égarement des 32 touristes occidentaux dans le sud du pays vient d’être battue en brèche par des sources sécuritaires bien informées. En effet, selon ces dernières, les touristes auraient été enlevés par un groupe armé et seraient actuellement localisés dans les massifs rocheux de Tamelrik, non loin de Oued Semane, à quelque 150 km au nord-ouest d’Illizi. Accessible uniquement à dos de chameau, cette région est marquée par de nombreuses grottes et abris rocheux qui rendent toute intervention militaire «coûteuse en vies humaines», ont indiqué nos interlocuteurs.
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#19028 - 05/07/03 12:03 PM
Re: documenti
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tratto da Elkabhar di oggi due notizie di per se contradditorie: la prima che il ministro degli interni smentisce qualsiasi contatto con "eventuali" rapinatori e continua a prediligere la tesi che possano aver perso la strada a causa delle tempeste di sabbia.(sic) La seconda che un capo tribù abbia detto che 11 ostaggi sono stati visti e tenuti prigionieri dalle parti di Illizi: ecco comunque l'articolo originale Affaire des touristes allemands Zehrouni n'écarte pas la thèse d'otages Par : Hamid Yes
Le ministre de l'intérieur Yazid Zerhouni a reconnu que le traitement mediatique de la part des autorités, à propos de l'affaire des touristes, disparus a été maladroit, il a démenti à l'occasion, formellement tout contact ou négociations avec les kidnappeurs des 31 touristes comme rapporté par les médias nationaux et étrangers ces derniers jours.
Une source du ministère de l'intérieur a indiqué que la réunion entre le ministre et les membres de la commission de communication et de la culture et du tourisme au siège de l'assemblée populaire et nationale, hier, autour de la question des touristes européens disparus entre l'axe Illizi-Tamanghasset et Djanet depuis plus de deux mois, a rapporté de la bouche de Yazid Zerhouni que les travaux de recherche se poursuivent. Ces dernières ont permis de découvrir une cache d'armes avec des munitions et des marchandises de la contre bande, sans dire le lien entre la cache d'armes et les 31 touristes, et sans précision, il a déclaré que cela permet l'hypothèse qu'ils soient en otage.
Selon le ministre, les équipes de recherches au nombre 5 mille entre militaires, gendarmes et policiers sont dotées de six hélicoptères, ont découvert, sur une superficie de 30 mille km2 parcourues entre le 08 et le 28 avril dernier, des indices qui permettent de penser que certains sont encore en vie. A ce sujet notre source a rajouté:" le ministre a déclaré que des boîtes de conserves, des tenues et des manuscrits ont été découverts en plus de six voitures appartenant aux touristes avec des réservoir vide et sans les batteries... toutes ces indices donnent l'espoir de retrouver certains d'autres eux en vie".
D'autre part, les rapports météorologiques ont indiqué que durant les mois de février et mars la région a enregistré des tempêtes de sable, ce qui laisse supposer qu'ils auraient perdus leur chemin". Bien que le ministre ait apporté de nouvelles donnes sans apporter des éclairages à la question qui est devenue une véritable énigme.
A propos des négociations qui auraient eu lieu entre les autorités algériennes et les kidnappeurs, le ministre a dit: " il n'existe ni contacts ni négociations tant que nous ignorons la situation des touristes, en d'autres termes nous ne savons pas avec qui négocier car nous ignorons l'endroit des touristes. Le ministre de l'intérieur a indiqué que l'affaire est un coup dur pour le tourisme en Algérie et à la mauvaise gestion de la question par les autorités pour rajouter, selon notre source:"nous avons commis des erreurs de ce côté et nous en tirons les leçons pour les prochaines fois".
Le ministre a dévoilé ses rencontres avec son homologue allemand ainsi que le vice ministre des affaires étrangères allemand qui sont retournés dans leur pays, selon nos sources, satisfaits quant aux efforts fournis par le gouvernement Algérien dans la recherche des disparus.
Le ministre de l'intérieur a insisté, lors de son intervention devant la commission parlementaire, sur le fait que les touristes sont rentrés par les frontières tunisiennes sans guides et par une route officieuse et n'a pas écarté l'hypothèse qu'ils seraient pilleurs de vestiges.
Un chef de tribu révèle 11 touristes sont détenus à Tamligh Par : M. Iouanoughane
L'"Aminokal" (chef des sages) de la wilaya d'ilizi (sud) a affirmé à El Khabar hier que 11 touristes, parmi ceux disparus au sud de l'Algérie, ont été bel et bien localisés.
Les 11 touristes se trouvent, en fait, dans une région montagneuse appelé "Tamelghik", située entre "Oued Tadjer Adjerri" et "oued Smen" (environs 80 à 90 km du chef-lieu d'Illizi). C'est l'endroit même où un groupe, étranger à la région, est venu s'installer au mois de novembre, selon Hadj Ghouma Ibrahim Ben Ghouma.
Le groupe en question est armé et possède sept véhicules "Toyota", selon la même source qui ignore, cependant, le nombre de ses éléments.
Ce groupe n'a pourtant commis aucune agression depuis son installation à IIlizi, jusqu'à ce que 11 touristes arrivent dans la région, selon notre source. Ces derniers ont été aperçus pour la dernière fois à Oued Infik (à 70 km du chef-lieu d'Illizi), pas très loin des caves où le groupe, sus-mentionné, s'est installé.
Ghouma Ibrahim à affirmé qu'"il n'y a pas de doute que les 11 touristes sont détenus à Tamligh, par ce groupe,...cette endroit est encerclé par les citoyens et le groupe ne peux pas le quitter...les 20 touristes restant seraient à proximité de Tihihaout and Timghar, à l'intérieur des wilayas d'IIlizi et de Tamanrasset".
Notre interlocuteur affirme, en outre, qu'"il n'y a pas de contactes avec les kidnappeurs", il a ajoute "il y a une coordination entre les citoyens qui assiègent ces derniers et le commandement de l'armée", et il a exprime sa conviction que "les touristes sont en vie car le groupe n'a fais du mal à aucun citoyen depuis son installation dans la région"
Les 11 touristes sont, selon la même source, des Allemands, dont le ministère des affaires étrangères à appelé les citoyens à ne pas se diriger vers le Sahara Algérien, pour des raison de sécurité.
En revanche, des groupes de touristes Européens, en particulier Français, entreront bientôt, en très grand nombre, en Algérie.
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#19030 - 05/12/03 08:07 AM
Re: documenti
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Da le quotidien d'oran di oggi
AFFAIRE DES 31 TOURISTES DISPARUS
Une demande de rançon de 30 millions d’euros
20 à 30 millions d’euros. C’est la somme qu’exigeraient les ravisseurs des 31 touristes disparus dans le Sud algérien, selon les révélations du magazine suisse «Hebdo». Ce journal indique qu’Alger aurait reçu trois demandes de rançon en ce sens.
C’est le journaliste suisse, Richard Labévière, qui rapporte le prix exigé pour la libération des «otages» occidentaux disparus dans le désert algérien depuis deux mois. Labévière est connu pour être un éminent spécialiste des questions islamistes et terroristes et auteur notamment du best seller «Les dollars du djihad». Selon ces révélations, sourcées par des membres des services de sécurité algériens: «Les autorités algériennes ont reçu 3 demandes de rançon, l’une au commandement militaire de la zone sud, deux autres aux directions de la police d’Alger». Les ravisseurs exigeraient, ainsi, 30 et 45 millions de francs suisses (20 et 30 millions d’euros) pour les 31 otages, des Allemands, des Autrichiens et des Suisses. Toujours selon l’Hebdo, les autorités algériennes ont «parfaitement localisé» les otages, grâce à la découverte de deux véhicules des ravisseurs dont une Iveco bleue, dans la zone du rapt, en ajoutant qu’Alger voulait lancer un assaut il y a 15 jours, mais que le gouvernement allemand s’y est opposé, ainsi que le ministère suisse des Affaires étrangères, «pour ne pas mettre la vie des otages en danger», estime Mme Micheline Calmy-Rey, le chef de la diplomatie suisse. Ce magazine soulignera que les «otages ont été enlevés par des bandits de grand chemin et non par les islamistes», mais s’égare en affirmant que leur chef, Mokhtar Belmokhtar, surnommé «le parrain de Marlboro», est le commanditaire. Du moment que celui qu’on appelle «le borgne» est considéré comme affilié au GSPC de Hassan Hattab depuis 1998, après avoir déserté les rangs du GIA. Les affirmations du magazine suisse accréditent davantage la thèse d’un enlèvement planifié par des bandes organisées dans le grand sud-est algérien. Pour certains observateurs, les ravisseurs seraient issus, pour la plupart, du GSPC, mais agiraient pour des «motifs pécuniaires» et non sous le couvert du GPSC. Cela étant appuyé par le fait que Abderrezak le Para, autre émir salafiste opérant dans cette zone, serait responsable de la capture et de la détention de 11 touristes sur les 31, qui seraient disséminés en trois endroits complètement différents.
C’est dans cette confusion qu’un autre magazine, Focus, en Allemagne, vient de révéler qu’Alger aurait refusé «toute ingérence» dans cette affaire après que le chancelier allemand Gerhard Schroeder eut offert son aide au président Bouteflika pour retrouver les touristes européens, dont 15 Allemands. Focus indique que les ravisseurs auraient «demandé à négocier directement avec Berlin, ce que les autorités algériennes ont «catégoriquement» refusé. Le hic est que le magazine allemand cite les déclarations du ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, qui aurait déclaré devant la commission parlementaire qu’il «n’y a pas d’ingérence allemande, car il s’agit d’affaires algériennes internes». Reste qu’un autre média allemand, prolixe sur des hypothèses de plus en plus contradictoires, vient d’annoncer que Berlin a dépêché, avec l’accord d’Alger, une unité de commando d’une dizaine d’hommes spécialisés dans le traitement des prises d’otages. Information non confirmée officiellement, mais qui risque d’envenimer davantage une situation complexe qui présente des risques avérés pour les «otages».
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